Société Archéologique du Rougier et des Avant Causses (S.A.R.A.C.)
SIÈGE SOCIAL
12400 SAINT- AFFRIQUE
SITE INTERNET
PERSONNE À CONTACTER
chez Martinez Philippe
Ségonzac
12400 Vabres l’abbaye
COMPOSITION DU BUREAU :
- Présidente : Bernadette Damoiseau
- Vice-président : Dominique Guibert
- Trésorier : Philippe Martinez
- Secrétaire : Andrée Gutierrez
Qui sommes-nous ?
Objectifs : promouvoir auprès du plus large public les richesses du patrimoine archéologique de la région souvent menacé, trop souvent méconnu.
Les activités archéologiques sur le terrain aujourd’hui plus réduites pour des raisons officielles, se poursuivent cependant avec des recherches, des excursions à thème ou des conférences. Ainsi la S.A.R.A.C. met à la disposition du chercheur les ouvrages de son importante bibliothèque, consultables au siège de l’association.
Parmi ces travaux on peut citer l’incontournable Lettre de la S.A.R.A.C. qui, deux fois l’an, propose un compte rendu des activités de l’association.
Les chercheurs ou les passionnés peuvent travailler au siège de l’association situé à la Maison de la Mémoire 6 Place Paul Painlevé 12400 Saint-Affrique. La S.A.R.A.C. y tient une permanence le vendredi de 14h à 16h.
Actualités
La Société Archéologique du Rougier et des Avant Causses (S.A.R.A.C.)
a le plaisir de vous inviter à la conférence de
Monsieur Claude PETIT
Une coutume oubliée : le charivari
Jeudi 30 juin 20h30 – Salle du Familial – Saint-Affrique
« Aujourd’hui oubliée, la tradition du charivari a longtemps animé les soirées dans les campagnes. Organisé lors d’un remariage de veufs ou de veuves, il consistait à défiler dans la rue en organisant un tintamarre assourdissant, accompagné de scènes burlesques.
Tantôt joyeuse promenade terminée autour d’une bonne bouteille, il pouvait parfois dégénérer en incident pouvant aller jusqu’à la mort d’un participant. Connu dans toute la France, cette coutume médiévale allait perdurer jusqu’au XXe siècle dans les campagnes aveyronnaises.
Les recherches dans les archives et dans les souvenirs des derniers témoins permettent d’éclairer cette pratique sociale originale. »
Claude PETIT